Auteur/autrice : Mathieu Pép.

Alex Banks (Partie5)

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Alex reste figé, incapable de bouger, alors que la scène se déroule au ralenti sous ses yeux. C’est exactement comme sur la photo. Chaque détail sont identiques.

Il recule d’un pas pendant que ses mains tremblent et que sa gorge se serre.

La note laissée sur l’appareil photo lui revient en mémoire:

« Ne photographie que ce que tu es prêt à perdre… »

Il sent alors dans sa poche le polaroid. Il doit absolument le détruire, là, tout de suite sans plus attende.

Cependant, dernière lui, quelqu’un l’accuse : « Alex ! Hé ! Qu’est-ce que t’as fait ? Maudit malade, tu l’as… »

Il se retourne.

Un garçon qu’il connaît à peine le fixe avec des yeux accusateurs… et, sans comprendre pourquoi, Alex le prend en photo.

La photo glisse hors du Polaroid. Alex a les yeux fixés sur la photo encore noire, qui commence à se teinter d’ombres et de formes.

Il sait ce qui va apparaître. Il sait qu’il ne pourra rien y changer. Il sait que le témoin va mourir. Il sait qu’il n’aurait jamais dû le prendre en photo.

Alors pourquoi l’avoir fait ? Non, ce n’était pas lui ? C’était l’appareil photo qui prenait le contrôle de son inconscient.

« Non.. Non.. Non.. » crie Alex alors qu’il découvre la photo du jeune homme couché à terre dans la cafétéria.

Il se met à courir vers le boisé qui mène à sa maison. Il s’arrête qu’une fois rendu à côté d’un petit ruisseau. Là, il lève l’appareil au-dessus de sa tête, prêt à le lancer contre les roches du ruisseau.

Soudain, l’appareil vibre et il entend un murmure qui résonne dans sa tête :

« Si tu me brises… ils mourront tous, maintenant. »

À suivre…

Alex Banks (Partie 4)

Précédemment

Des sueurs froides remontent ses membres vers sa tête. Son coeur s’emballe rapidement. Il l’entend battre au travers de sa poitrine. Il se sent mal, très mal. 

Alex essaie de se calmer en prenant de longues respiration. Ce n’est pas le temps de perdre connaissance et s’évanouir pendant le cours. 

Il tourne la tête lentement vers Tyler. Celui-ci sourit bêtement. Où plutôt, naïvement.

Est-ce qu’il a signé son arrêt de mort ?

C’est impossible voyons. Ce n’est qu’une stupide photo. 

Cependant, comment est-ce possible ? Probablement une sorte de logiciel de photoshop. Ça existait dans les années 80 il faut croire? La technologie informatique est assez surprenante.

Le cours se termine et Alex suit discrètement Tyler dans les couloirs de l’école jusqu’à l’extérieur.

Et si c’était un appareil maudit ? Après tout, il y avait une note assez claire sur l’appareil photo…

Alex ne peut rester la sans faire. Une fois rendu dans le parking en face de l’école, il se mets à marcher rapidement vers la rue pour le rattraper. Il mets sa main sur l’épaule de Tyler: « Hey … » 

Tyler se retourne et le repousse. « Laisse-moi tranquille maudit fucker. Tu m’écoeures ». 

Même si il a de la misère à y croire lui même. Alex essaie de le retenir pour le mettre en garde vraisemblablement d’un danger. « Tyler, non, réagit pas comme ça. Tu dois me croire que ce n’est pas moi. C’est l’appareil photo qui.. »

« L’appareil photo qui a quoi? photographié ça tout seul? Tu me prends pour un con ou quoi? » répond Tyler en le poussant à nouveau. 

« Non je te jure que.. »

Cette fois-ci, Tyler n’en peut plus. Il frappe Alex en plein visage. Celui-ci se défend en le poussant de toute ses forces. 

Tyler déséquilibrée, se retourne et essaie de traverser la rue pour s’enfuir. 

Un sons lourd et poignardant se fait entendre. Celui d’une voiture qui frappe quelqu’un…

À suivre…

Alex Banks (Partie3)

Précédemment

Une fois arrivée dans la classe de sciences de M.Apple, Alex prend soigneusement le temps de sortir son appareil photo de son sac. Il le positionne sur le coin de son bureau avec la lentille pointé vers lui.

Pendant cette manœuvre, la photo qu’il a prise hier glisse de son sac et tombe sur le plancher de la classe.

— « Ouach, c’est ben dégueu ton affaire » s’exclame son voisin de bureau en ramassant la photo. « Il faut être fucké dans tête pour prendre ce genre de photo ».

Alex reprend la photo.

— « C’est quoi ça » dit-il étonné et déstabilisé par la situation. « Voyons, ce n’est pas à moi. Arrête de me niaiser ».

Alex est complètement irrité de la situation. Il n’est pas ce genre de jeune déviant qui prends en photo des animaux morts. 

Le cours de M.Apple commence. Celui-ci appel en avant un premier élève pour présenter son objet technologique. Pendant ce temps, Alex regarde à nouveau la photo. Un chat noir est éventré à terre avec ses organes à moitiés sorties. Le poil du chat est arrosé de sang et sa jambe arrière est fracturée. Alex ne comprend pas d’où peut provenir cette photo.

 Tour à tour, les élèves présentent leur objet. Finalement, Alex est appelé en avant par M.Apple.

Alex se tiens devant la classe, un léger sourire nerveux accroché au visage. Il tient dans ses mains l’appareil photo.

— « Euh… Bonjour. Aujourd’hui, je vous présente un appareil photo, un Polaroid vintage. Il date des années 80. Malheureusement, il ne fonctionne plus. En fait, je crois qu’il ne fonctionne plus.. »

Pour le tester à nouveau, Alex se tourna vers Tyler, un élève au premier rang.

— « Tu veux que je te prenne en photo? »

Il hausse les épaules en souriant. Alex appuye sur le bouton. Un flash intense illumine la pièce un court instant. Puis, la photo glisse hors de l’appareil.

— « Voilà! Comme j’ai dit, il ne fonctionne plus. La photo prise est toute noire… »

Il la montre à la classe comme preuve.

M.Apple remercie Alex et lui fait signe de retourner à sa place.

Quelques instants plus tard, Alex regarde à nouveau la photo. Celle-ci a commencé à se développer. La photo ne montre pas Tyler assit sur sa chaise. Elle affiche Tyler, étendu au sol, dans une mare de sang. Une voiture est arrêtée de travers au milieu de la rue avec sa vitre avant fissurée….

À suivre…

Alex Banks (Partie2)

Précédemment

Après sa visite de recherche de souvenir chez son grand-père, Alex revient chez lui. Il a l’esprit tourmenté par la note manuscrite de cet appareil photo.

-Pourquoi avoir une mise en garde?

-Pourquoi son grand-père l’avait-il caché?

La curiosité d’essayer de prendre une photo prend le dessus. Après tout, ce n’est qu’un appareil photo… rien de grave ne peut réellement arriver…

Alex décide de prendre en photo un chat noir inconnu sur le chemin de retour. Celui-ci est soigneusement couché sur une branche d’arbre.

Alex sort de son sac à dos l’appareil, le pointe sur le chat et appuie sur le bouton. Un « Click » se fait entendre. L’appareil fait beaucoup de bruit pendant que la photo polaroid commence à se montrer.

Il secoue la photo. Attends quelques secondes. La secoue à nouveau. Rien à faire, la photo est complètement noire. Dommage, l’appareil doit être défectueux. Il remet le tout dans son sac à dos et poursuit sa marche.

Le lendemain matin, Alex doit apporter un ancien objet technologique à son cours de sciences. Il n’y a pas de doute dans sa tête, il va apporter l’appareil photo.

Il marche vers son école avec l’esprit habité par son grand-père. Il est tellement dans ses pensés qu’il ne remarque pas le chat noir éventré au sol, tout près d’un arbre…

À suivre…

Gallilégnome

Ce cher petit nain de jardin se sent tellement mis de côté dans cette équipe elfes sylvains. De plus, il n’est pas à la hauteur des attentes de Équinoxe. Et cela, dans tous les sens du terme.

Même l’arbre surnommé « Feuill’Round Kick moi le cul » se moque de sa petite taille. L’autre jour, il s’amusait de le lancer comme si c’était une vulgaire balle de baseball.

Son histoire est tellement triste. Être un jeune rejeté auprès de ses coéquipiers à cause de son manque de grandeur, agilité ou de rapidité…

Je crois qu’il est temps que les Murmures lui fasse une belle faveur. Plus précisément, le privilège de jouer dans une équipe où les différences sont acceptées. Cependant, petit détail, il doit d’abord mourir sur le terrain…

En raison de la mauvaise presse, l’Équinoxe perd 1 Fan Dévoué, mais gagnent un tag «x de 5». Les Murmures gagne 1 Fan Dévoué

Alex BanKs

Alex Banks est un jeune sportif réservé et passionné par le football. Malgré son manque de talent, il rêve de devenir joueur professionnel. Cependant, il est conscient que c’est peu probable. Donc il prend son éducation au sérieux et consacre beaucoup de temps à étudier.

Après son cours du jeudi, il avait l’habitude de rendre visite à son grand-père qui habite proche de l’école.

Cependant, aujourd’hui c’est différent…

Il avance lentement sur le chemin de gravier, la tête basse et les mains enfoncées dans les poches. Son cœur est envahi d’une profonde tristesse à penser à son grand-père qui est récemment décédé. Arrivée devant sa maison, Alex s’arrête un instant. Il regarde la porte d’entrée, celle-là même que son grand-père ouvrait toujours en souriant. Le poids de son absence est lourd sur ses épaules. Il aurait tant aimé pouvoir.. le voir encore.

Alex décide d’entrer à la recherche de vieux souvenirs.

Le sol en bois craque sous ses pas. L’horloge du salon continue à faire un sons tic-tac qui résonne dans la maison.  Les murs sont tapissés de cadres un peu de travers. Des photos en noir et blanc. Chaque photo murmure une histoire.

Il continue sa visite, le cœur ému.

Il s’arrête devant la commode en bois sombre de sa chambre, celle qui grinçait toujours quand son grand-père l’ouvrait. Elle a l’air banale et usée comme le reste de la maison, mais quelque chose attire son attention…

Il l’ouvre lentement. À l’intérieur, des vieux linges soigneusement pliés, une vieille montre, quelques lettres. Ils les poussent doucement sur le côté et tapote le fond du tiroir. Un son creux lui répond.

Alex fronce les sourcis, il pousse le fond du tirroir et celui-ci se soulève légèrement. Il soulève la planche de bois et découvre un double fond.

Dans le compartiment secret repose un vieil appareil photo. Des mots griffonnés à la main sont encore bien lisible:

« Ne photographie que ce que tu es prêt à perdre… »

À suivre…

Billy Deep chez les Murmures (Partie4)

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Billy Deep ouvre lentement les yeux. Il a le visage rempli de boue. Sa main droite est décapitée et sa jambe gauche est fracturée.

Autour de lui, des silhouettes floues courent, hurlent, frappent. Encore une fois, il ne comprend pas où il est. Le terrain. Le match. Les Murmures. Une douleur. Une très forte douleur.

Puis, le souvenir du choc lui revient. Un énorme Bloodspawn, l’air idiot mais avec une force incroyable, l’avait assomé juste après l’engagement.

— « Colisss… », hurle-t-il de douleur.

Une botte le frôle. Un zombie des Murmures vient de passer en ignorant royalement son corps à moitié enterré dans la boue.

Billy roule sur le côté avec un gémissement de douleur. Sa vision s’éclaircit. Il voit, à une dizaine de mètres, le ballon dans les mains d’un joueur adverse.

Et soudain, il entend les murmures de ses coéquipiers

-Relève-toi, Billy…

-Ce n’est pas terminé…

-Fais-le tomber…

-Fais-le payer…

L’adrénaline envahie Billy. Il serre les dents et se redresse. Malgré sa jambe fracturée, il trouve la force de courir de peine et de misère vers le porteur de ballon.

Il enlève et jette par terre son casque à moitié brisé. Les murmures dans sa tête se transforment en chants de guerre. Trois mètres. Deux…

Le porteur de ballon se retourne au dernier moment, juste à temps pour voir Billy Deep s’envoler dans un tacle désespéré à une main.

L’impact brutal résonne dans le stade et la foule hurle d’excitation face au jeu spectaculaire de Billy.

Billy se relève, le torse gonflé, en héros.

À suivre…

Billy Deep chez les Murmures (Partie 3)

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Tranquillement, Billy ouvre les yeux. Sa vision est brouillée. Couché par terre sur un mélange de bouette et de pelouse, sa mémoire lui fait défaut et il n’est pas certain de comprendre où il est. Il essaie de se relever pour s’asseoir sur un banc en bois couvert de mousse verte à proximité de lui. Ses os craquent comme du bois mouillé.

Il finit par comprendre qu’il est sur le banc de son équipe. Le terrain est rempli de brouillard et au loin il entend des bruits des morts et des brutes qui jouent.

–            « Touchdown !!! » gémit la foule étrange en arrière de lui.

Billy se retourne et voit que les gradins sont pleins à craquer de morts-vivants. Leurs visages sont livides, déformés avec des yeux vitreux fixant le terrain. 

Ses coéquipiers retournent vers le banc en célébrant leur deuxième Touchdown du match. 

–            Je crois que le match est dans la poche avec cette avance de 2-0, dit l’un d’entre eux ayant un aspect de loup-garou. Le sang dégouline de sa mâchoire formant des filets le long de son menton. Billy la reconnaît, c’est Mme Wolf.

–            Tiens, tu te réveilles enfin, dit-elle. 

Billy reste muet.

–            Dis-moi pas que je te fais peur mon joli garçon? Je ne mange pas les morts-vivants si cela peut te rassurer.

–            Non non, réplique Billy avec une petite voix insécure et timide.

–            Puisque tu le dis. Alors tu veux jouer la dernière séquence sur le terrain? Dit Mme Wolf avec un sourire attentionné.

–            Non merci, répond Billy en secouant la tête de gauche à droite.

–            Pourtant, je suis certaine que le propriétaire serait ravi de te voir à l’action. Slappy aime voir les nouveaux joueurs sur le terrain, dit-elle. 

Billy reste figé par sa dernière parole. Dire qu’il avait presque oublié ce fameux ventriloque. 

Soudain, une citrouille gigantesque se dresse en arrière de lui. Une de ses racines formant un bras tordu et griffu pousse Billy vers le terrain. Incapable de résister, Billy est entrainé vers le terrain contre sa volonté. 

Ses coéquipiers se placent sur le terrain autour de lui et indiquent à Billy de s’installer au centre du terrain, sur la ligne de mêlée. Les joueurs adverses rentrent à leur tour. Une grosse brute ayant la forme d’un Bloodspawn s’installe devant lui. C’est Kimchi Lee, un des joueurs étoile des Khornichons.

–            Bonjour, dit-il avec un large sourire rempli de satisfaction.

L’arbitre, dont la mâchoire pendait légèrement de travers, fait résonner son sifflet d’un bruit stridant.

Boooom.. Les lumières ferment et Billy tombe par terre en s’évanouissant, la jambe décapitée par Kimchi Lee.

À suivre…

Billy Deep chez les Murmures (Partie 2)

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—En passant moi c’est Bill. Bill Stark, dit-il tout en lui serrant la main. 

— Et moi Billy, réplique-t-il.

Soudain, La porte s’ouvre doucement. Un silence coupe net les conversations dans le vestiaire.

Une jolie femme entre dans le vestiaire. Une beauté étrange, presque irréelle. Grande, élancée, des cheveux bruns et des yeux gris. 

Elle s’approche de Billy lentement, ses talons résonnant sur le sol. Elle soulève le menton de Billy avec ses ongles longs et brillants, le forçant ainsi à la regarder droit dans ses yeux.

— Ahhhhh, c’est toi le petit nouveau joueur de ligne. Je te souhaite la bienvenue. D’ailleurs, ne t’inquiète pas, je vais te protéger contre ces brutes, dit-elle.

— Merci, dit Billy d’une voix insécure et tremblante. 

Un des joueurs ricane

Mme Wolf, Tu vas être son porte-bonheur ou quoi ce soir ?

— On va dire ça, oui. Mais… je ne sais pas si je vais lui faire peur. La lune est pleine ce soir. Très pleine.

Certains ricanèrent, d’autres pas du tout. Tandis que Billy reste de marbre, déstabilisé par sa beauté. 

En demeurant debout devant lui, ses doigts commencent à glisser sur les boutons de son chemisier. Un à un, elle les détache, laissant découvrir son soutien-gorge noir en dentelle. Elle abaisse doucement son pantalon, dévoilant ses hanches et ses fesses. 

 Le regard de Billy est figé sur ses formes. Comme si c’était la première fois qu’il voyait une femme nue.

Elle aime se sentir désirée. Elle laisse tomber son soutien-gorge pour offrir à Billy le plaisir de regarder ses seins. 

Billy s’approche subtilement vers elle pour sentir son parfum. Une odeur indescriptible de fleurs d’automne. Le plaisir, le désir, la testostérone, le sexe, le sang..

Soudain, elle s’effondre au sol et son corps commence une métamorphose improbable…

Des poils sombres apparaissent le long de ses bras et de son dos, tandis que ses membres s’allongent et se reforment en pattes d’animal. Son nez se déforme pour laisser place à un museau.

Quand elle se relève, ce n’est plus une femme. C’est une louve. Et elle a faim… 

Billy, blême comme un drap blanc, s’effondre au sol, sans connaissance…

À suivre…

Billy Deep chez les Murmures

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Billy entre timidement dans le vestiaire des Murmures d’automne. L’odeur mêlée de gazon et de sueur lui saute au nez, lui rappelant qu’il entre dans un monde nouveau. Il se dirige vers un casier où l’on peut y lire, sur une vieille plaque de fer rouillée; « Billy Deep #13 ».

Il tient son sac contre lui, un peu trop fort, comme un bouclier contre ses nouveaux coéquipiers qui ont des allures effrayantes. 

Tout en installant ses affaires dans son casier, il regarde les autres autour de lui. L’un d’entre eux fait plus peur que les autres. Probablement à cause de son corps qui est un patchwork de peaux cousues grossièrement entre elles, variant du gris cadavérique au vert pâle. Des coutures épaisses serpentent son corps. Son bras gauche est plus long que le droit. De plus, cette main est déformée en raison de griffes qui lui servent vraisemblablement d’onlges. 

Mais ce qui est le plus terrifiant chez lui est son crâne fracassé laissant son cerveau à découvert. Avec des boyaux remplis d’un liquide vert fluorescent sortant des deux côtés.

Son voisin de casier se penche vers lui et dit: « Tu as raison d’avoir peur de lui. Il est capable de tuer un Ogre d’un seul coup de poing. »

Billy reste figé… envahi par la peur. Depuis qu’il est mort, tout est devenue un cauchemar.

À suivre…