Entrevue avec le Coach

Bob – Bonjour Jim.

Jim – Bonjour Bob.

Bob – On a de la grande visite aujourd’hui en studio.

Jim – Oh oui! Le coach Archibald de Talabheim nous fait les honneurs de sa présence aujourd’hui.

Archibald – Bonjour à vous deux et aux visionneux de la Cabal. Est-ce que c’est comme ça qu’on doit les appeler?

*confusion chez Jim et Bob*

Jim – On ne s’est jamais vraiment posé la question.

Bob – On s’en sacre un peu en fait. Ce sont des fans du plus merveilleux sport. C’est ça qui compte.

Archibald – Ah ok!

Jim – Ça n’a pas bien été le dernier défi contre les Rapides.

Archibald – Euh! Le gouverneur de l’équipe m’a dit qu’on allait parler de l’approche des séries. Pas du défi.

Bob – Trop « pea soup » pour en parler?

Archibald – Non, ce n’est pas ça… C’est juste que… On l’a perdu… On passe à autre chose.

Jim – Mais nos fans veulent savoir ce qui s’est passé.

Archibald – Ben, ils ont juste à regarder la rediffusion. C’est simple, non?

Bob – Il y a un coach qui a son égo froissé dans la pièce? *pointe Archibald pas trop discrètement*

Archibald – Heille! Le gros! Mon égo se portent très bien. On n’avait pas perdu de match régulier depuis le 28 octobre avant ça. Malgré qu’on a affronté des gros clubs. On s’en est pris à des plus coriaces que toi.

Bob – *cogne sur la table* Si tu continues de même, m’a t’arrangé le portrait. Tu vas bien matcher avec ton équipe par la suite.

Archibald – Je n’ai même pas peur. Tu en as perdu, Bifford. Cogne sur la table, cogne sur la table. Tu ne m’intimides même pas.

Jim – On se calme. Les deux.

Bob – C’est lui qui a commencé.

Jim – Pas vraiment… mais le réalisateur nous fait signe d’enchaîner. Archibald, une idée pourquoi cette défaite crève-cœur?

Archibald – *sigh* S’il faut en parler… Le « foil ». Ils avaient tous mis du « foil » dans leurs gants. C’est la seule explication pour la façon dont ils nous ont frappés. L’arbitre n’a même pas voulu vérifier. Ça paraît qu’on jouait chez les Rapides. Je suis sûr qu’il doit avoir un pot de vin là-dedans.

Jim – Les experts disent que vous êtes amer et que vous faites des accusations non fondées. J’abonde dans leur sens en ce moment.

Bob – C’est juste un chialeux de bébé gâté.

Archibald – J’en ai assez. J’ai fait mon 2 minutes d’entrevue comme mon contrat l’exige. Je « crisse » mon camp d’ici.

Jim – Mais voyons… Archibald. Admettons que vous avez raison…

Bob – Bébé gâté!

Jim ­– Bob, est-ce que veux aller te chercher un Vergond’s Ork and Beans dans le fond du studio pour que je puisse finir l’entrevue.

Bob – Bonne idée. Ça va m’éviter de sentir sa couche pleine.

Archibald – Mmph! *pointe violement Bob qui s’éloigne*

Jim – Vous avez risquer de perdre un bon joueur durant cette joute.

Archibald – Oui, mais heureusement Ludwig a fait une excellente job. Je suis heureux de dire que Jacquelin de Mariembourg se portent bien et il sera des nôtres au prochain match. Tu sais, ce qu’on est supposé parler… les prochains matchs. Laissez le passé dans le passé.

Jim – Jacquelin est un joueur spécial à vos yeux?

Archibald – Ils le sont tous… sauf peut-être Bilitis qui vient d’arriver. Jacquelin est le seul joueur qui a participé à tous les matchs. En tant que garde du corps, ce n’est pas un mince défi. Vous pouvez constater vous-même que les blessés sont fréquents dans nos rangs.

Jim – D’ailleurs certains reproches vos tactiques… comment dire sacrificiel.

Archibald – À la guerre, on a un objectif à atteindre. Ce n’est pas différent à Blood Bowl. Est-ce qu’on atteint l’objectif? Oui, monsieur. Ceux qui disent le contraire sont aussi stupide que Bifford.

Bob (avec une voix distante) – Je t’ai entendu… Connard.

Jim – Bon, le réalisateur me fait signe de boucler l’entrevue. Un mot de la fin?

Archibald – Non.

Jim – Euh! Ici Jim…

Bob (avec une voix distante) – … et Bob …

Jim – … pour le Coin à Jim et Bob.Archibald – Pis moi… je suis là aussi… pfff… amateurs!