Les Clubbers : la genèse
Les Clubbers est un club new wave des bas-fonds. Il est reconnu pour l’utilisation occasionnelle d’une « chaîne et boule disco » à la place de la traditionnelle « chaîne et boulet » et pour son aptitude à faire « lever le party » par l’utilisation (extrêmement enthousiaste) de stroboscopes et de tubes musicaux tels que « Do You Really Want to Hurt Me » ou « It’s a Miracle »… tout spécialement quand la boule disco est sur le terrain.
Les Clubbers ont été créés lors d’une rencontre entre DJ Buddha et le groupe Gobelinconfit dans une boîte de nuit appelée le Dance Floor. Buddha y officiait en tant que disc-jockey en dehors de ses activités de coaching avec les Rotstars, un club de blood bowl des ligues mineures.
Le projet de groupe prit officiellement forme avec la mise sous contrat de Fender, un batteur professionnel ayant joué dans de nombreux groupes punk rock. Les compétences de « batteur » de Fender furent perçues comme un atout important pour la formation naissante qui l’embaucha au poste de Lanceur avec le titre de capitaine.
Fender se souvient de ses premières répétitions avec les Clubbers : « C’était affreux. Il ne se passait rien du tout mais il y avait quelque chose. C’était loufoque. Je pensais « C’est exactement ce que je recherche ». Aucun joueur n’avait d’expérience mais ils voulaient tous faire quelque chose. Ils avaient besoin de moi, et j’avais besoin d’eux. De plus, ils n’étaient pas cyniques alors qu’il y aurait eu amplement matière à l’être. »
Afin de donner du tonus à l’équipe, les Clubbers mirent sous contrat Hammer le Troll, un ami de longue date de Fender. Selon Buddha, au sujet de sa première rencontre avec le colosse : « La chose qui m’a impressionné, c’était la voix de Hammer. Pour être tout à fait honnête, je ne pensais pas qu’il aurait été capable d’émettre d’autres sons que des grognements. »
Les styles de jeu pratiqués par les Clubbers vont du blocage mou à l’esquive foireuse, en passant par l’oubli de surveiller ses zones de tacle. Rassurez-vous, fans de blood bowl car dans le cas de cette équipe des bas-fonds, le meilleur n’est peut-être pas à venir !
