Temple de la renommée – Équipes intronisées
Conditions d’intronisation
Pour qu’une équipe soit admise au Temple de la renommée de la Kasse Gueule, elle doit avoir remporté deux Championnats de Québec consécutifs. Suite à cet exploit, son admission est immédiate et l’équipe est retraitée.
#001 – HIPSTERS
Race : ELFES SYLVAINS
Saisons : I et II
Honneurs : I CHAMPIONS, II CHAMPIONS, II CLASSIQUE, I CLASSEMENT, II CLASSEMENT, I TOUCHÉS, II TOUCHÉS
Classements
Saison | Pts | % | MJ | V | N | D | EP | MEP | EC | MEC | +/- | TP | MTP | TC | MTC | +/- |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
I | 96 | 23 | 11 | 10 | 1 | 0 | 22 | 2.00 | 17 | 1.54 | +5 | 42 | 3.81 | 6 | 0.54 | +36 |
II | 79 | 19 | 15 | 14 | 1 | 0 | 32 | 2.13 | 45 | 3.00 | -13 | 48 | 3.20 | 11 | 0.73 | +37 |
Cette équipe fondatrice de la Kasse Gueule joue le premier match de son histoire contre les Annihilateurs de Murdochville qu’ils défont dans un joyeux festival offensif par la marque de 5 à 0. Il faut attendre au quatrième match pour les voir finalement accorder un premier touché… et neuf match avant que ne se termine leur première séquence de victoires.
Saison I
Les Hipsters remportent le Championnat de saison suite à un match de finale face aux Ravagers de Las Vegas. Ils remportent aussi les trophées Impériaux et Starbock, couronnant respectivement une première place au classement général et une saison de 42 touchés… et ratent de près le trophée Malbock par deux sorties.
Saison II
Les Hipsters se retrouvent sous le feu croisé de plusieurs équipes très agressives qui les malmènent sauvagement. La banqueroute est évitée de peu grâce à un flot continu de victoires dues à une offensive explosive. Après avoir remporté la Classique de saison, les hollywoodiens ajoutent à leur collection, pour une deuxième saison de suite, l’Impérial et le Starbock. La fin de la saison présente une équipe à bout de souffle mais encore suffisamment déterminée pour remporter la Coupe Noire face aux Boukanniers du Fion.
Épilogue
L’annonce de leur retraite fut accueillie avec beaucoup d’enthousiasme par le tout Kasse Gueule, heureux d’être enfin débarrassés de la formidable formation elfique. Les Hipsters, invincibles et invaincus, lèguent à l’histoire des records qui seront difficiles à égaler – dont le plus imposant: 31 matchs consécutifs sans jamais subir la défaite.
Ils appartiennent maintenant à la légende du Blood Bowl de Québec.
#002 – VOLTS
Race : SLANNS
Saisons : XXII et XXIII
Honneurs : XXIII CHAMPION, XXII CHAMPION, XXII DUNGEONBOWL, XXIII DUNGEONBOWL, XXII CLASSEMENT, XXIII CLASSEMENT, XXII TOUCHÉS, XXIII TOUCHÉS
Saison | Pts | % | MJ | V | N | D | EP | MEP | EC | MEC | +/- | TP | MTP | TC | MTC | +/- |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
XXII | 82 | 18 | 25 | 20 | 3 | 2 | 58 | 2.32 | 59 | 2.36 | -1 | 56 | 2.24 | 18 | 0.72 | +38 |
XXIII | 62 | 13 | 13 | 9 | 3 | 1 | 28 | 2.15 | 36 | 2.77 | -8 | 23 | 1.77 | 5 | 0.38 | +18 |
Si plusieurs équipes sont passées tout près d’une intronisation, il a fallu 20 saisons pour que la Kasse Gueule ait une nouvelle équipe à introniser. Mais quelle équipe ! Sous la gouverne du Kroxigor Mike Coup-de-Foudre (on se rappellera sa chronique faits divers ainsi que son amourette avec Rosélia), l’équipe de grenouilles a marqué la ligue par son style de jeu atypique… même pour des Slanns. En effet, l’équipe a fait fi de la tradition de la race en n’abusant pas trop des sauts au profit d’un solide jeu défensif (0,38 touchés accordés par match) obtenu à partir d’un positionnement au poil près.
SAISON XXII
Déjà, la première saison des Volts est exceptionnelle avec seulement deux défaites en 25 matchs. Le receveur vedette Léo Switch domine la ligue avec ses 31 touchés en 20 matchs et un total de 109 PSP en une seule saison. Arrivée au championnat, l’équipe profite d’une profondeur de joueurs exceptionnelle et défait les Babylonains par la marque de 5 à 1 en demi-finale, allant même jusqu’à blanchir les chaotiques Griffes en finale par la marque de 3 à 0.
SAISON XXIII
L’équipe se fait éviscérer comme un vulgaire poisson à l’entre-saison à cause d’un modeste plafond salarial imposé par la ligue. Exit Léo Switch ainsi que la profondeur de joueurs. Les blitzeurs établis tels que Fernand Triphasé et le nécroplastifié Marvin Flash son conservés dans l’alignement. L’équipe débute la saison avec zéro relances et aucun marqueur dédié. En fait, aucun joueur des Volts n’accumulera plus de 4 touchés durant la saison et pas moins de 6 joueurs se partageront régulièrement la tâche de porter le ballon.
L’équipe est reconstruite de justesse pour le championnat lors duquel les Volts défont le Pouet en demi-finale par la marque de 2 à 1 ; le touché adverse, réussi à l’aide d’un lancer de coéquipier, met fin à une série de quatre blanchissages consécutifs. Ils défont ensuite l’Ordre en finale par la marque de 3 à 0. Ceux-ci ont jugé, après le match, s’en être tirés à bon compte tellement le jeu était à sens unique.
Épilogue
Le style de jeu défensif des Volts a obligé de nombreuses équipes à revoir leurs tactiques. Ils ont aussi démontré que les sauts ne sont pas l’unique ingrédient du succès des Slanns. Aujourd’hui, les Volts sont non seulement une équipe légendaire mais aussi un exemple de résilience, ayant prouvé que même face à des défis financiers et de profondeur d’équipe, il est possible d’atteindre le sommet.
L’annonce de la retraite de l’équipe fut célébrée par la Kasse Gueule. Par la suite, le coach des Volts s’est imposé un chemin de croix en se mettant à la tête d’une équipe de 16 Zombies… mais ça, c’est une autre histoire que vous ne risquez pas de lire dans le Temple de la Renommée !
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