Makita crève Alonso et les Magnifiques passent en finale

Ce lundi soir s’est déroulée la demi-finale de la Classique de Québec entre les Magnifiques et le Crunch. Les 80.000 spectateurs ont été bien divertis dans une victoire chaotiques par la marque de 2 à 0, incluant 3 sorties contre 4.

Le match débuta par un botté chez les Magnifiques, prestement récupéré par la vedette Bad Dog. L’échauffourée centrale envoya le lézard Rodriguez à l’apothicaire qui le rafistola. Pendant ce temps, le minotaure Seelah, aidé de Mastercraft et Irwin, tentaient un tchou-tchou frénétique visant à transiter le lézard Hernandez de la ligne de mêlée à la foule. Ils y parvinrent presque mais échouèrent – malgré la relance d’équipe.

L’entourloupe ratée vit les Magnifiques divisés, ce qui nuisit gravement à l’effort offensif. Le Crunch exploita sa vitesse en occupant la zone de scission, obligeant le petit groupe supportant Bad Dog à cheminer fin seul sur le flanc gauche. Pour endiguer cette faiblesse structurelle, les Magnifiques attaquèrent en corps à corps avec l’acharnement d’une nuée de moustiques et la solidité d’un club gériatrique.

C’est ainsi que le capitaine Makita, la vedette Bad Dog et le guerrier Sun Joe durent se débrouiller à peu près seuls pour respecter le plan de match du coach Angus – c’est-à-dire étirer le temps jusqu’à ce que l’élastique pète. Le Gros Gonzalo repéra l’élastique et tira fort dessus en s’occupant de Makita, pendant que le costaud skink Francisco aidé de l’hyper agile Alonso chassaient Bad Dog devant l’impuissance de Sun Joe à réussir une jambette de qualité.

La vedette chaotique perdit le ballon à deux reprise sous sa couverture déficiente – ce qui, clairement, est entrain de devenir une sale manie chez les Magnifiques. Il faut dire que le blodgeur Bad Dog n’a plus sa forme d’autrefois, ayant tombé à six reprises lors de ses six derniers blocages encaissés. Le ballon – tout comme l’espoir des coachs – changea de mains, mais finit par miraculeusement se retrouver entre celles de Sun Joe qui réussit le touché au huitième tour.

Restait la riposte en un tour du Crunch. Les Magnifiques délibérèrent longuement pour déployer la meilleure défensive possible devant l’invincibilité du skink-vedette Alonso. Les fans baillèrent d’ennui. Le Crunch délibéra ensuite longuement pour optimiser ses chances de réussite. Le botté fut réalisé et le ramassé de ballon fut prestement échoué par le skink Bartolomé.

la seconde mi-temps

La seconde mi-temps vit le ballon botté chez le Crunch qui en profita pour mettre un terme à la carrière de l’homme-bête Fuller qui en était à son premier match chez les pros. Le guerrier du chaos Mastercraft le suivit presto au box des sorties, mais fut rafistolé par l’apothicaire. Le costaud skink Francisco récupéra le ballon et le rapatria au centre sous l’oeil attentif d’Alonso.

À court de deux joueurs, les Magnifiques abandonnèrent le raisonnable et optèrent pour un échec-avant soutenu. Une percée réussie par le rapide Irwin et supportée par Bad Dog se retrouva dans la face de Francisco pendant que leurs coéquipiers retenaient le maximum de lézards possibles. Suffisamment de chaotiques parvinrent à rester sur leurs pieds pour obliger Francisco à tenter l’esquive et à trébucher sur une jambette. Quelques zigonnages plus loin et les Magnifiques doublaient leur avance.

Une FIN DE MATCH riche en animosité

Les Magnifiques établirent leur défensive en désavantage numérique. Cette fois, le skink Alonso récupéra personnellement le ballon. Une percée en plein centre du terrain fut opérée pour le laisser passer pendant que le guerrier du chaos vétéran Kesten Garess voyait sa carrière définitivement fracturée.

Le capitaine Makita, voyant ses coéquipiers impuissants à juguler l’hémorragie et sa némésis en possession du ballon, esquiva à gogo et sonna le skink-vedette. Le skink Francisco récupéra le ballon et fonça vers la ligne des buts. Le frénétique Irwin rôdant dans les parages obligea le Crunch à couvrir son porteur de ballon… ce qui déroba Alonso de toute couverture.

C’est ainsi que le capitaine Makita, gonflé à bloc, commit – sans support – une agression zélée sur Alonso. La foule se tut. La civière fut emmenée et le décès du skink constaté. Fou de rage et abandonnant toute logique, Cortèz, le capitaine du Crunch, sonna frénétiquement Makita pendant que le skink Bartolomé l’agressait en retour. La foule se tut. La civière fut emmenée et il fut constaté que Makita était gravement blessé.

Plus tôt cette semaine, la presse avait fait grand bruit de la rivalité entre Makita et Alonso.

Le Lounge étant au bord de la guerre civile, l’arbitre mit fin au match sur une victoire des Magnifiques.

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aille aille aille! Une autre séquence à l’attaque miraculeuse pour les Magnifiques. On dirait que les valeurs d’équipe vont baisser chacune de 300K!!!