Les Clubbers regardent le train passer

Les Clubbers avaient besoin d’une victoire – idéalement convaincante – pour calmer les fans depuis leur rendement en dents de rats des dernières semaines. C’est tout le contraire qui s’est produit. Les bestioles de DJ Buddha ont certes livré une autre performance énergique mais ont été quitte pour regarder le train passer. Les Corleone l’ont emporté 3-1, dimanche soir. La bataille a été à l’avantage du Vert et Poils par 5 sorties contre 4.

« J’espère que personne ne va critiquer parce que ces rats-là donnent tout ce qu’ils ont. Est-ce que l’exécution est toujours là ? Non. Mais l’effort y est à 100% », a déclaré l’entraîneur DJ Buddha.

Le train des Corleone

Le match a salement débuté pour le Vert et Poils avec une désastreuse invasion du terrain qui a laissé passer le train des Corleone sans opposition aucune. Les Clubbers ont ensuite montré quelques signes encourageants à l’offensive mais des assassins à la poursuite enragée ont lourdement contribué à fermer le jeu… même lorsque les deux formations étaient réduites à six contre six.

« Nous sommes plus préoccupés par notre façon de jouer que par celle de l’adversaire. On se fait dominer à tous les matchs et on boite de la papatte. On parle du fait qu’on a parfois le dessus sur l’adversaire au chapitre des sorties, mais c’est la même histoire qui revient souvent : on ne marque pas assez de touchés. On a fait 5 sorties, hier soir, mais on a pas eu beaucoup de chances de marquer », a fait remarquer DJ Buddha.

La vermine de choc Floyd s’enlise

Certes, la vermine de choc Ibanez a joué un match respectable, mais son partenaire avait un très, très mauvais match dans le corps. Lorsque Floyd a raté un ramassé de ballon en première mi-temps, ça annonçait une pénible soirée. La dure soirée du vétéran s’est poursuivie en deuxième mi-temps avec deux autres ramassés de ballon consécutifs ratés qui ont mené au second touché des Corleone. Nous savons maintenant combien d’elfes ça prend pour arrêter une formation complète de Clubbers à l’offensive ! À peine six. 2-0 Corleone.

Si la vermine Papa Mouche a rapidement inscrit un touché pour remettre les siens dans le match, elle fut aussi l’auteure du double crâne qui a finit de clouer le cercueil des Clubbers. 3-1 Corleone.