Les Clubbers encore très verts
Les Clubbers et sa cohorte de gobelins ont démontré à quel points ils étaient verts, ce dimanche soir. Voici six chantiers auxquels l’équipe devra s’attarder.
Le leadership derrière le banc
C’est sans ambiguïté, DJ Buddha devra améliorer ses mix lors des prochains matchs !
Le leadership sur le terrain
Fender, le capitaine-lanceur des Clubbers a démontré qu’il était un joueur d’impact, mais il faudra aussi qu’il soit une présence calmante et imposante sur le terrain. À ce sujet, la vétérinaire des Clubbers a déjà annoncé avoir modifié sa diète en augmentant les protéines et en réduisant l’extasy.
Le cas Floyd
Plusieurs indices démontrent le malaise lié à la présence de Floyd, la vermine de choc, dans l’équipe. Mais une bonne dose de froide logique est de mise dans ce dossier. Si les Clubbers ne sont pas exactement une puissance offensive, Floyd en demeure son principal catalyseur avec sa capacité à botter les postérieurs de ses coéquipiers afin qu’ils se mettent à courir dans la bonne direction.
Couper les ponts avec certains
DJ Buddha devra déterminer s’il garde le mix de son équipe intact. Tous ces gobelins à deux têtes pèsent lourd sur la masse salariale pour le rendement fourni sur le jeu. Aussi, libérer de l’argent permettrait d’embaucher des vedettes de talent.
Le développement des jeunes
Les Clubbers ont annoncé la création de leur club-école, les Rotstars, et la direction a certainement très hâte d’y repêcher les futures vedettes de l’équipe.
Du renfort à l’aile
À l’offensive, les Clubbers ont peiné à percer par le centre face aux Corleone, une formation qui n’est pas exactement robuste. Les Clubbers manquent d’attaquants dignes du premier trio. Les gobelins ont montré qu’ils pouvaient être productifs aux ailes, mais ce ne sera pas de bon augure si l’un d’eux figure parmi les trois meilleurs attaquants des Clubbers cette saison !