Crunch! vs Ravagers – Big Stack dans la tourmente
(L’interview prend place après la victoire du CRUNCH!, pendant le lunch d’après-match).
Souriceau [S] : Bonjour Cortés, merci de m’accorder un peu de votre temps. C’est une première victoire importante que vous venez de vous offrir ce soir contre les Ravagers.
Cortés [C] : Poutain, yé suis entrain dé manger. Ça peut pas attendre ?
S : C’est un honneur de pouvoir enfin vous approcher en personne, Cortés. J’aimerais revenir un peu sur le match de ce soir. Les Ravagers ont amorcé la rencontre exactement comme les Boukanniers l’ont fait en finale de la Coupe blanche. Big Stack le minotaure a foncé directement sur Montezuma le Kroxigor.
C : […]
S : […]
C : […]
S : Intéressant ! C’était courageux mais insouciant. Big Stack a passé le reste de la mi-temps étendu à regarder le ciel. En revanche vous avez perdu votre duel contre Dean Beating qui vous a envoyé au banc des blessés. Que vous a-t-il traversé l’esprit à ce moment ?
C : Groah ! Hijo de puta coño de su madre (ndlr : fils de pute enculé de sa mère) la prochaine fois, yé vais lui rentrer sa cabeza de bono (ndlr : tête de gland) dans son culo (ndlr : postérieur) !
S : Très touchant ! Heureusement pour vous, Hernández Puertocarrero s’est bien vengé en lui croquant gravement un bras et aux dernière nouvelles, Dean Beating manquera le prochain match. De votre côté, que pensez-vous de la blessure grave au gros Gonzalo de Sandoval ?
C : Pour dé vétérans, les Ravagers c’est dé mariquitas (ndlr : chochottes). Sans trop forcer, on a réussi le même nombre de sorties qu’eux (2-2). D’ici quelques match, je ne donnerai plus cher de la peau de ces cabrón (ndlr : connards).
S : Impressionnant. Votre jeu défensif a toutefois cédé en fin de match en permettant un touché de… euh..
(Cortés, mi-irrité, mi-affammé, regarde avec insistance Souriceau investigateur).
S : Euh… merci encore de… euh… avoir pris le temps de nous parler.