Mois des coachs
Jim : Bonjour Bob!
Bob : Salut Jim!
Jim : De la grosse visite dans notre studio aujourd’hui.
Bob : C’est vrai! C’est rare que je ne suis pas le plus gros ici.
Jim : Euh! De la grande visite… j’aurais dû dire. Pour honorer le mois des coachs… le retour des légendes… le gouverneur nous a fortement encouragé de faire une réunion des différents coachs qui ont opéré sous lui.
Bob : J’imagine que c’est une bonne idée vue qu’on n’a pas de match à parler. J’aurais mieux aimé parler d’un match par contre.
Jim : Tu vas faire mal sentir nos invités.
Bob : Tant qu’ils ne se sentent pas mal comme notre gouverneur. Faible!
Jim : Bob! C’est lui qui nous paye ultimement. Soit gentil avec si tu veux plus de McMurty.
Bob : J’aime ça les McMurty.
Jim : Effectivement. On va commencer à parler avec le coach de la plus vieille franchise jusqu’au plus récent.
Bob : Ça va être long. Il y en a plusieurs.
Jim : Dans ce cas, soit content que notre commissaire ne soit pas Sébastien parce qu’il y aurait pas mal plus d’invités que ça.
Bob : Ouais, ouais… On commence?
Jim : Notre premier invité est le coach des Admirats de la Chaudière… Grey Seer Paquin.
Grey Seer Paquin : Bonsoir!
Jim : Vous dirigiez une équipe de Skaven qui a eu un bon succès à son arrivée. Votre carrière a été écourté comme le plaisir de plusieurs suite à des mesures sanitaires et la décision de se retirer en attendant que ça passe.
Grey Seer Paquin : C’est important de savoir quand se retirer.
Jim : C’est vrai mais nos fans vos savoir ce que votre carrière avant ça. Après tout, on veut savoir d’où vous veniez avant d’être coach et comment vous êtes devenu coach.
Bob : Moi, non. Je veux un match.
Grey Seer Paquin : Et bien… comme mon titre le dit. Je suis un Grey Seer. J’aidais des ordres de Skaven dans des batailles épiques dans les Bas-Fonds en lançant des sorts et des malédictions à pas mal tout le monde. Ma carrière a pris un tournant quand nous sommes sortis des égoûts de Montréal pour voguer sur le St-Laurent à la recherche d’alcools et de trésors. On a fait un mauvais virage sur la rivière Chaudière. Comme on a resté pris et que l’équipage commençait à causer du trouble, j’ai décidé de les engager dans la KSGL afin de les occuper. C’est comme ça que je suis devenu coach d’une bande de gueux.
Jim : Merci Grey Seer Paquin. Notre temps limité m’oblige a passé à notre prochain invité.
Coach A’nold : C’est moi.
Bob : Dégages !!! Tu étais tellement mauvais que tu as été renvoyé. Pis tu n’es même pas sur la photo.
Coach A’nold : I’ll be back!
Bob : Nope.
Jim : Le prochain coach… Ubalde « Brain » Vachon, coach des Bikers de la Beauce.
Ubalde « Brain » Vachon : Bonsoir!
Jim : Même question.
Ubalde « Brain » Vachon : Comme on a pu voir, il y avait A’nold avant moi. En fait, les Bikers n’avaient pas de coach pendant plusieurs semaines au début de la saison. A’nold a fait son entrée… puis sa sortie après une contre-performance. Je ne faisais pas grand-chose avant l’appel de mon cousin Alain « Bass » Lapointe. Je me promenais pénard sur les routes de la Beauce sur mon Ariel 4G MkII « Square Four » 1958 qui a été modifié en 1971. Dude… que j’aime cette moto. Bref, appel de Bass. Je me pointe au casse-croûte Diane à St-Odilon-de-Cranbourne. Il me dit : « On a besoin d’un coach. Tu es smart. Té in? ». J’ai répondu « Fuck yeah! ». Oh… on peut sacrer ici?
Jim : Un peu tard mais oui. L’auditoire est adulte… en théorie. Merci Ubalde.
Bob : J’ai au moins 5 ans… en fait, je ne sais pas trop c’est quoi mon âge. C’est plus que mes doigts en tout cas.
Jim : Notre prochain invité… le Haut Prêtre Archibald de Talaheim de la 142ième Irréguliers de l’Altdorf
Haut Prêtre Archibald de Talaheim : Bonsoir!
Jim : Je rappelle la question… qu’est-ce vous faisiez avant et comment vous êtes devenu coach?
Haut Prêtre Archibald de Talaheim : J’étais et je suis encore un soldat dans l’armée de l’Empire. Nous avons profité d’un moment de paix pour inscrire la 142ième dans la Kasse Gueule afin de maintenir en forme nos troupes. C’est ainsi que je suis devenu coach. Ça s’est avéré une mauvaise idée car on n’a eu plus de blessés sur le pitch que lors d’un raid dans les Terres Arides. On n’a retourné à notre spécialité… la guerre.
Jim : Merci Haut Prêtre. On va sauter par-dessus le prochain car le P.O.U.E.T. a aussi sauté la saison XX. On va quand même revenir au Dr. Mih’Vile plus tard. Notre prochain invité… Med’suinte Antoine Fauh’Guy… coach de l’Office de la Mutation Suintante.
Med’suinte Antoine Fauh’Guy : Bonsoir!
Bob : Encore la même question… ça doit achever, là?
Jim : Oui et oui. Désolé pour l’insolence de mon partenaire.
Med’suinte Antoine Fauh’Guy : Pas de problème. Je suis habitué aux comportements dégoutants.
Bob : Meh!
Med’suinte Antoine Fauh’Guy : Avant d’être coach, je développais des nouvelles maladies afin de décimer des populations plus efficacement. En fait, on ne s’est même pas trop forcé avec le nom de l’équipe et on a simplement utilisé le même nom que l’organisation. Au final, j’ai été « coach » mais ce n’était qu’une expérience sur le terrain au final. Résultat, très très décevant. Aucuns morts malgré tous ces matchs n’ont été ramené avec le prototype Mx34A5. Je suis retourné au laboratoire pour travailler sur d’autres variants. Peut-être que la prochaine fois va être la bonne.
Jim : Plutôt inquiétant tout ça. Bon succès dans vos recherches. Nous recevons maintenant le coach Hey’Dhron des Polies.
Coach Hey’Dhron : Bonsoir!
Jim : Et pour vous… qu’elle est votre histoire?
Coach Hey’Dhron : À vrai dire, à force de contrôler l’espace-temps, j’ai de la misère à distinguer le passé, le présent et le futur. Ça explique le manque de succès des Polies selon plusieurs. J’avais l’air absent pendant que PartTh’Onne et Veu’Hun’Bizcui ont fait la job. Peu importe. Je peux par contre vous dire que les Polies n’ont pas de futur.
Bob : Yes! Ils étaient tellement plate à couvrir.
Jim : Finalement, Dr. Mih’Vile, coach du P.O.U.E.T.. Vous allez remettre vos bottes cloutés et affutés vos vieux poignards pour un retour éphémère sur l’astrogranite. Comment vous sentez vous présentement?
Dr. Mih’Vile : On dit qu’un leader, un vrai, s’implique avec son équipe. Mes conseillers m’ont encouragé d’aller sur le terrain avec mes sbires. Ça va nous apporter de la sympathie pendant qu’on fait des opérations clandestines ailleurs. Bref, un alibi en béton pendant que des « choses » se passent.
Jim : Vous n’avez pas l’air si enjoué que ça.
Dr. Mih’Vile : Officiellement… oui selon mes conseillers. J’ai juste hâte à décembre que l’« opération » soit terminé.
Jim : C’est quoi l’opération?
Dr. Mih’Vile : Je ne peux le révéler car selon notre contrat je ne peux pas vous tuer ainsi que toute votre audience. Donc le silence est mon plan B à cette question qui vous aurait été fatale dans d’autres circonstances.
Jim : Euh! J’ai comme le goût qu’on arrête ça là.
Dr. Mih’Vile : Faites donc.
Jim : Ici Jim …
Bob : … et Bob…
Jim : … pour le Coin à Jim et Bob.