Massacre à Vera-Cruz
Hier soir s’est joué le dernier défi de ligue de la saison remporté 2 à 1 par le CRUNCH! face à des Ravagers impitoyablement dominants et totalisant 6 sorties contre 0. L’équipe reptilienne a parfois eu des airs de skavens défraîchis face aux poings d’aciers de Las Vegas – le capitaine-général Cortéz ainsi que la vedette Alonso quittant très tôt le match en civière.
Vera-Cruz ouvrit la marque à la suite d’une attaque maladroite obligeant un premier touché rapide. S’ensuivit une offensive des Ravagers durant laquelle Babe Cruth enfonça sa batte dans le crâne du saurus Alvarado qui y perdit un oeil – blessure somme toute mineure, celui-ci manquera seulement le prochain match. De son côté, la recrue homme-bête Hans Khorne’leon fit extrêmement bonne figure en attrapant un ballon perdu au milieu d’une mêlée avant de se retrouver la cible d’une très destructrice boule de feu ordonnée par son propre coach. Se retrouvant le seul encore debout dans une zone jonchée de corps et occupé à frénétiquement tenter d’éteindre un feu ravageant sa toison intime – ses derniers poils survivants, Hans ne put résister au plaquage subséquent qui permit au CRUNCH! de s’offrir une avance de 2 à 0 à la suite d’un rebond particulièrement chanceux.
La seconde mi-temps débuta sur une nouvelle offensive des Ravagers maintenant pressés par le temps. Leur descente dans le camp veracruzanoa faillit tourner au vinaigre après que le skink Velàzquez eut subtilisé un ballon libre. Faisant cavalier seul en zone adverse, celui-ci vit son arrogance s’écraser sous le poing autoritaire de Fat Tony et plusieurs mouvements de ballon plus tard permirent à Las Vegas de s’offrir un touché. Il ne restait plus que quelques secondes au match et Hell’vis ordonna à ses troupes de se tenir hors de portée des saurus… mais c’était oublier la vélocité d’une horde de skinks et l’arrogance d’un Velàzquez qui avait un compte à régler. Plusieurs formidables mettre le paquet plus tard virent les petites bestioles tenter un jeu épique qui se termina par un Velàzquez à nouveau écrasé sous le poing autoritaire de Fat Tony.