Le génome des snotlings pourrait contenir des indices pour aider l’espèce à survivre

Les Snotlings ont rejoint la ménagerie des créatures dont le génome a été décodé.

Pourquoi est-ce que ça fait une différence ? Parce que tout le monde adore les snotlings. Mais le nombre de snotlings décline et les chercheurs sont entrain de fouiller dans leur génome pour trouver des indices afin de sauver ces créatures. Déjà, les scientifiques ont trouvé que les snotlings étaient génétiquement très similaires d’un spécimen à l’autre.

Combien de gênes a un snotling ? 2. Les chercheurs en avaient préalablement identifié 1, mais de nouvelles techniques ont permis d’en trouver davantage.

Est-ce que c’est beaucoup ? Ça dépend de l’organisme avec lequel on compare. Un grain de sable en a zéro alors qu’une plante verte en a plusieurs dizaines de milliers.

Quoi d’autre révèle l’étude ? Les snotlings ont des préférences alimentaires très libertines et broutent absolument n’importe quoi. Forcément, ils assimilent beaucoup de toxines mais heureusement, un de leur deux gênes est spécialisé dans la détoxication de leur organisme. Malheureusement, ce même gêne empêche les antibiotiques de fonctionner sur les spécimens atteints du syndrome de Rapunzel, un désordre très en vogue chez les snotlings et qui menace la survie de l’espèce.

Le saviez-vous ? En moyenne, un snotling dort 14 heures par jour. Se reposer leur prend 8 heures. S’alimenter leur demande un autre 2 heures de temps. Les quelques minutes restantes, quand il y en a, sont utilisées pour les loisirs… comme jouer au Blood Bowl !