Le Crunch! cède face aux Dragonnes

crunchL’interview prend place après le match. Notre très prudent journaliste Pépito Gomez Jr. débute sa nouvelle affectation à la couverture du CRUNCH! en interrogeant le très inoffensif skink Alonso de Ávila. separation

Pépito (P): Bonjour à tous ! Je suis ici en présence d’Alonso, skink pour le CRUNCH! de Vera-Cruz. Vous avez eu un gros match ce soir… une défaite de 2 à 1. Vous avez même subi 4 sorties contre 2, incluant le décès de Jackson du clan de la Bath. Quelle a été l’allure du match ? Je veux dire, vous saviez que ça allait être extrêmement difficile pour votre formation recrue et ça l’a été.

Alonso (A): Heu… Nous avons commencé le match de travers en perdant notre joueur vedette Sili Billi immédiatement après le botté de mise en jeu. Je pense qu’il n’a même pas eu le temps de voir le mauvais coup arriver. Mais vous savez, c’est correct parce qu’il est courant de commencer un match du mauvais pieds. C’est correct. On s’est dit… hey, commençons notre match lentement afin d’avoir toutes les chances d’aller en s’améliorant. Commencer lentement pour finir en beauté est mieux que le contraire.

P : Ah ? Et vous…

A : Les Dragonnes avaient notre numéro à la première mi-temps. Ne nous mentons pas. Nous n’étions pas vaincus, mais elles nous dominaient solidement. Même l’intervention de notre magicien fut un pétard mouillé. On s’est accroché. Ça nous a demandé du guts, ça nous a demandé de l’attitude. C’est tout ce que ça prend pour avoir du succès. Ayez de l’attitude que nous a dit notre coach. Ça va être difficile qu’il nous répétait. Maintenant allez sur le terrain. Battez-vous solide. Faites-le pour les uns et les autres. Faites-le pour vous. Et vous allez vaincre… Et nous l’avons cru ! Viscéralement ! C’était un feeling vraiment incroyable.

P : Euh… et c’est là que…

A : C’était un feeling vraiment incroyable que de croire en nos chances de succès. Peu importe la situation. Peu importe que nos meilleurs éléments se faisaient sortir du jeu sans aucune riposte de notre part. Peu importe que l’on se soit fait compter après avoir volé le ballon contre vents et marées en toute fin de seconde mi-temps. Même si nous nous faisions rincer, nous continuions à tout donner.  ON ALLAIT AVOIR DU SUCCÈS parce qu’on y mettait les efforts et nous savions que ça allait payer et même si ça ne payait pas, on continuait de donner notre meilleur. Et c’est là que nous avons réalisé que même si nous perdions, nous allions gagner. Et continuer de sourire. C’était merveilleux !

P : (Hoche la tête en signe d’approbation)

A : C’était merveilleux […] merveilleux !

P: Wow ! Merci Alonso !

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