Les Chasseurs passent près de l’échapper face aux Plaies

CHÂTEAU-D’EAU : 1 DE 5

chasseursOn ne pourra pas dire que les Chasseurs manquent de « guts ». Ça non. La courageuse formation vampire a accepté un ultime affrontement face aux Plaies, ce dimanche soir, pour défendre leur participation à la demi-finale de la Classique d’hiver. Enfin, selon la direction des Plaies, il semblerait que c’était d’avantage pour débattre de la possession d’une certaine boisson Goblinade. Malgré ce qui a parfois eu l’allure d’une débandade, le comte Holstein et les siens ont réussi à arracher un match nul 1 – 1, tout en se faisant « légèrement » lessiver 5 sorties à 3.

Nous espérons que tous les détracteurs qui clamaient que les Chasseurs n’avaient dernièrement pas assez soif étaient dans les gradins parce que ça a mordu sans arrêts, ce dimanche soir. Mordre ou mordu ? Pourquoi pas les deux ! Aucune pitié pour les serviteurs.

Aucune pitié non plus pour les joueurs des deux équipes puisque le match fut une spectaculaire foire de l’agression. Pourquoi autant de haïne ? La réponse tient en un mot : Braford. Le vampire aux troubles de comportements multiples voulait, il semblerait, un peu trop bien faire sa job de soutien, cherchant parfois à menotter trois gardiens des tombes d’un seul grand coup. Le gourmand ! Victime de plusieurs agressions dont deux qui l’envoyèrent à l’infirmerie, notre bipolaire préféré ratera le prochain match.

Du côté des Plaies, c’est le gardien des tombes Walter qui a goûté le gazon sous la botte de Clysopompe (de même que les squelettes Fernand et René… plusieurs fois). Le (pas très) valeureux agresseur a tenu à souligner qu’en 10 match cette saison, sa botte ferrée n’avait pas encore servie. Elle était comme neuve. Elle a encore des allures neuves parce que des khemri, ça n’est pas vraiment salissant. Malheureusement, malgré un détour inquiétant par l’infirmerie, Walter va revenir à temps pour le prochain match.

M.A. Lachance (qui d’autre ?) a réalisé le touché des Plaies alors que le serviteur Beaumont, dans la tradition « n’importe-quoi-esque » des Chasseurs, a réalisé l’unique point des siens.

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