Finale de la Classique d’été: analyse des forces
Gratt’noix Faibl’watt est le gobelin bookmaker de la Kasse Gueule. À noter que ses propos n’engagent que lui et ne sont nullement représentatifs de l’opinion de la Kasse Gueule.
C’est l’temps d’la finale du bal de mi-saison. Qui est-ce qui va gagner ? Les belles ou la bête ? Lisez mon analyse éclairée pour avoir une meilleure idée de tout ça.
Chaudrons: un groupe expérimenté
La force brutale et expérimentée fait partie de l’ADN de cette équipe. Pour atteindre la finale de la Classique, ils ont dû passer sur le dos de Frosty des Khorneflakes pendant 4 mi-temps de jeu. L’équivalent de… euh… deux matchs en un ! Et on sait tous qu’le temps peut être long en compagnie d’un Buveur de sang !
À Ste-Foy, ils espèrent que l’équipe en sera à un premier sacre. Ce que les fans entendent pas des estrades, c’est que les jurons font partie intégrante de la culture de l’équipe.
Défensive
La défense comme dans: « Défense de te balader avec le ballon ». Y a une principale statistique à analyser pour ça. La moyenne de sorties causées par les Chaudrons est assez hallucinante avec 3.60 commotions ou mieux. On s’y perd un peu chez les Greld à savoir qui est le plus responsable de ça. Certains diront que la moyenne de touchés accordés (1.20) versus la moyenne de touchés comptés (1.20) peut être plus parlante. À ça je répond: « banane ! »
Offensive
Il y a du talent, énormément de talent à l’attaque. Les Greld sont les moteurs de l’équipe avec une moyenne assez hallucinante de 3.60 commotions causées ou mieux par match. C’est la principale statistique que j’analyse quand je veux savoir quelque chose. À ce groupe de surdoués on peut rajouter quelques autres joueurs « de caractère » dont Debbie et J.C. 33 même s’ils peinent parfois à causer des sorties de leur côté.
Unités spéciales
Kary Holt forme à lui seul l’unité spéciale, capable de changer l’allure d’un match sans qu’on puisse jamais prédire d’avance dans quelle direction ça sera.
Rangers: contre vents et raz-de-marées
Après un début de saison hasardeux tout spécialement pour la santé des joueurs, les Rangers se sont mis à trouver les moyens de remporter deux matchs de suite… souvent par des marges de points assez impressionnantes. Est-ce qu’on peut en conclure que les gentils p’tits elfes sont capables du meilleur comme du pire ? Moi, je pousserais pas le bouchon trop loin. Avec une maigre moyennes de 2.25 sorties par match, les Rangers ne sont tout simplement pas vraiment capable du meilleur.
Défensive
L’équipe n’a jamais réalisé de jeu blanc, ce qui ne surprendra personne compte-tenu que la brigade défensive des Rangers allie jeunesse et inexpérience – pas étonnant quand on regarde le roulement de personnel ! À sa première saison bien planqué derrière le banc, Jim Chlorophyle ne jure que par la formule 11/5 qui consiste à débuter la mi-temps avec 11 joueurs et de la terminer avec 5.
Offensive
Trèfle, le lanceur, fait figure de quart-arrière de l’équipe… le quatrième remplaçant à ce poste depuis le début de la saison. Bien cachés derrière lui, on retrouve un groupe de joueurs traumatisés qui ont tous vu plusieurs de leurs copains de jeu décéder ou se faire éclater les os. Impatiente et Bégonia dominent la colonne des pointeurs et advenant une panne sèche de ce duo, n’importe qui d’autre peut prendre le relais en autant qu’il ait trouvé un moyen d’être encore capable de courir sur le terrain.
Unités spéciales
Le jeu en infériorité numérique des Rangers a souvent prouvé son efficacité !