Septième match consécutif sans défaite pour les Chasseurs

franciscains chasseursCe dimanche soir s’affrontaient pour une seconde fois cette saison les Chasseurs et les Franciscains. Le résultat est demeuré inchangé avec un pointage de 2 à 1 en faveur de Château-d’Eau. Limoilou a toutefois causé la surprise en réalisant 6 sorties contre 3 ripostes.

Le tout a commencé par un botté dans le camp des Chasseurs, récupéré par le comte Beefalo. Des Franciscains lourdement positionnés au centre obligèrent l’offensive vampire à se mouiller sur le flanc droit sous une pluie de grenouilles. Quelques instants plus tard et trois Franciscains s’offraient une visite guidée des gradins en compagnie d’un vampire. Forcé de retraiter devant l’impasse, Beefalo choisit l’évidence – il valait peut-être mieux s’élancer de l’autre côté du terrain. Étrangement, l’orage de grenouilles changea de bord avec le pauvre comte. Deux Franciscains atterrirent (avec un peu d’aide) dans la foule du flanc gauche – bien plus motivée que celle du flanc droit – et déjà les apothicaires de Limoilou en avaient plein les bras à tenter de recoller les morceaux. Les Franciscains mirent fin au supplice en poussant le comte dans la zone des buts. 1 à 0 Chasseurs. La riposte échoua faute de temps.

La seconde mi-temps vit les Franciscains engranger un rapide touché, prouvant une fois de plus que l’équipe a sa place parmi les meilleures formations pour porter un ballon dans la zone des buts. 1 à 1 et tout était à refaire. Il restait amplement de temps afin de débattre un touché victorieux et le comte Longhorn ouvrit les hostilités en croquant un serviteur au banc des blessés. Si la première mi-temps fut musclée, la seconde fut en finesse et offrit une intéressante guerre de positionnement. Le comte Braford à qui l’on avait transmis le ballon réussit un laborieux touché. 2 à 1 Chasseurs. Une émeute suivit, labourant sauvagement le flanc gauche des deux équipes – on découvrit en fin de match que la guérite avait fait transiter et compacté les spectateurs les plus turbulents dans les gradins de gauche. La riposte des Franciscains échoua faute de temps.

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